Freelancer est lancé depuis près d'un mois et a été très bien accueilli. Vos retours sont extrêmement positifs, pleins de bonnes idées et d'encouragements. Bien entendu Freelancer n'est pas exempt d'erreurs et nous sommes encore en train d'éradiquer les petits défauts de jeunesse. Nous avons mis en place deux nouvelles pages qui vous permettrons de suivre l'évolution de Freelancer.
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Coming Soon…
Un planning des évolutions de Freelancer pour les prochaines semaines. Cette liste est volontairement limitée et sera mise à jour chaque semaine.

Posté par fabrice.delaneau@freelancer-app.fr


1 commentaires

  • kris 8 février 2010

    je n'arrive plus a trouver le lien contact. donc :
    A mon sens la fiche Devenir Freelance, définir l’organisme dont votre activité dépend est erronée ou en tout cas incomplète.
    -S'il on est exécutant, on ne peut prétendre au statut d'artiste auteur, ça ç'est vrai.
    -Un revenu à la source de type droit d'auteur (précompte agessa, travail pour maison d'édition etc) ne peut rentrer dans le cadre auto-entrepreneur. Il faudrait être fou pour le demander dans ce cas, ce statut puisqu'on PAYE déjà des charges sociales sur ce travail. Et il n'est pas possible, sauf erreur administrative d'en payer deux fois.
    -PAR CONTRE, d'une ,des tas de Graphistes créatifs travaillant plus avec des mairies, des entreprises ou des collectivités, pour des raisons de facturation plus "habituelle" envers ces sociétés ont choisi le statut Indépendant à l'URSAFF ; Leur tarif, avant crise (de 1991 & suivante) tenant compte à la hausse du surcout de charges sociales. la rubrique URSAFF/AUTO entrepreneur = pas créatif est trop limitative.
    - Un jeune écrivain, artiste peintre, illustrateur ou bédétiste souhaitant publier mais ne vivant le plus souvent que de petites commandes privées, d'artisants, etc... peut trouver un intérêt au statut d'aut-entrepreneur (pour rester dans la légalité, sinon il y a plus "simple", le paiement en liquide, mais on a vu ou celà à mené les musiciens de barà l'heure de la retraite...)
    Ses revenus (auteur et autre), à ce jeune auteur,sont tellement modestes que l'épée de damoclès du dépassement de seuil, pour passer aux charges plein pot, risque de ne jamais l'atteindre avant longtemps !
    Par contre, il pourra facturer LEGALEMENT à des clients des conférences, ateliers, animations, ce que l'Agessa/ maison des artistes REFUSE à de modestes "assujettis" (aux charges sociales artiste auteur) pas encore affiliés, c'est à dire vivant principalement de l'activité d'artiste auteur.
    En attendant ce statut, les cours, interventions peuvent représenter sa principale source de revenu. D'où l'intérêt de cette micro entreprise.
    * J'ai appris en 2009 à une conférence organisée par la S.G.D.L de la bouche du directeur de l'agessa, qu'en tant qu'asujetti "occasionnellement" aux charges sociales d'artiste auteur, c'est à l'artiste de "savoir" et de demander à cotiser à la retraite à cette caisse , ce qui n'est pas obligatoire.
    Dialogue de sourd. Puisqu'on m'à à chaque fois simplement demandé : vous voulez être affilié (pas assez de revenus, en tout cas moins qu'e le travail alimentaire salarié à côté) ou assujettis ?
    Kris Caricaturiste, Animateur Atelier-BD ou caricatures, Illustrateur occasionnel* pour l'édition
    et auto-entrepreneur.

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